La justice argentine a demandé à l’Espagne les adresses des responsables qui ont agi sous le franquisme et sont encore en vie, dans le cadre d’une enquête sur des crimes commis en Espagne sous la dictature de Franco (1936-77), a-t-on appris mardi de source judiciaire.
La magistrate Maria Servini de Cubria a sollicité par le biais d’une commission rogatoire, "les noms et dernières adresses connues des membres des Conseils des ministres des gouvernements de l’Etat espagnol, ainsi que des (…)
Accueil > Mots-clés > Auteurs n-r > Roberto Ferrario
Roberto Ferrario
Célibataire. Journaliste. Formateur spécialisé CSSCT CSE...
Les articles de Roberto Ferrario depuis 2022 :
– https://bellaciao.org/Roberto-Ferrario
Articles
-
L’Argentine recherche des Franquistes
27 décembre 2011 par via RF (Open-Publishing)
1 commentaire -
Un ex-colonel remis à l’Argentine (video)
26 décembre 2011 par Santa Cruz via RF (Open-Publishing)
Luis Enrique Baraldini, un ancien colonel recherché pour des violations des droits de l’homme en Argentine sous la dictature, a été remis aux autorités argentines aujourd’hui, au lendemain de son arrestation à Santa Cruz, dans l’est de la Bolivie.
Le ministre bolivien de l’Intérieur Wilfredo Chavez avait annoncé hier l’arrestation de Luis Enrique Baraldini à Santa Cruz, la capitale économique de la Bolivie - à 900 km de La Paz -, où il vivait depuis une demi-douzaine d’années sous la (…) -
Les origines de l’Etat terroriste et de la disparition forcée dans l’Argentine dictatoriale.
21 décembre 2011 par Roberto Ferrario (Open-Publishing)
Intervention de Gabriel Péries, docteur en Sciences Politiques, lors du colloque « Les citoyens français assassinés ou portés disparus pendant le terrorisme d’Etat en Argentine », le 8 décembre 2011, au Sénat, organisé par le « Collectif argentin pour la mémoire » et l’Ambassade de la République Argentine en France.
Ici : http://bellaciao.org/fr/spip.php?article123140
Il s’agit donc d’évoquer ici une articulation entre une forme d’Etat, l’Etat terroriste, et un procédé, ou plutôt un (…) -
Quand la France exportait sa torture en Argentine (full video)
21 décembre 2011 par Hélène Marzolf via RF (Open-Publishing)
1 commentaireEn 2003, dans “Escadrons de la mort, l’école française”, Marie-Monique Robin racontait comment la France, à partir de la fin des années 50, fit profiter la junte argentine de ses méthodes de torture et de répression expérimentées en Indochine et en Algérie. Son film étant considéré comme pièce à conviction, la journaliste était citée à comparaître en février lors de procès contre des anciens tortionnaires. Nous l’avons accompagnée.
Le 7 février, devant le tribunal de Mendoza. Une haie de (…) -
N’oublions pas nos camarades disparus (video)
21 décembre 2011 par Roberto Ferrario (Open-Publishing)
2 commentairesYves Domergue, Cecilia Rotemberg et Marie-Anne Erize sont "disparus"... victimes de la dictature militaire argentine entre 1976 et 1983.
Mais ils ont été aussi anciens élèves ou enseignants du lycée franco-argentin Jean Mermoz de Buenos Aires et du Collège français de Belgrano (établissement précédent, fermé en 1969).
Trente-cinq ans après ces disparitions, une grande majorité de la communauté du lycée l’ignore encore. Avec l’intention de rappeler ces faits et de rendre hommage à leurs (…) -
L’Argentine continue de découvrir les horreurs de la dictature (photos + videos Es)
19 décembre 2011 par Roberto Ferrario (Open-Publishing)
Le « Processus de réorganisation nationale » (« Proceso de Reorganización Nacional ») est le nom officiellement donné à soi-même par la dictature militaire argentine de 1976 à 1983, qui imitait ainsi le Proceso de reconstrucción nacional de la dictature uruguayenne. Celle-ci a fait près de 30 000 « disparus » (desaparecidos), 15 000 fusillés, 9 000 prisonniers politiques, et 1,5 million exilés pour 30 millions d’habitants, ainsi que 500 bébés kidnappés aux parents desaparecidos et élevés par (…)
-
Salah Hamouri enfin libre ! (photos + audio)
19 décembre 2011 par Roberto Ferrario (Open-Publishing)
5 commentairesSalah Hamouri, âgé de 26 ans, a été relâché sur la base militaire israélienne d’Atarot, à Jérusalem-Est. Il a été accueilli par ses parents avant de retrouver le domicile familial où l’attendaient des proches et des sympathisants dans une atmosphère de fête.
-
Argentine : « les vols de la mort » ont bien existé (videos)
18 décembre 2011 par Roberto Ferrario (Open-Publishing)
8 commentairesLes vols de la mort (espagnol : vuelos de la muerte) sont une pratique de la guerre sale en Argentine, lors de la dictature militaire en Argentine (1976-1983). À l’aide des vols de la mort, des milliers de desaparecidos furent jetés dans l’Océan Atlantique vivants et drogués, depuis des avions militaires. La même tactique fut utilisée au Chili de Pinochet, en particulier dans le cadre de l’opération Calle Conferencia de 1976 (des hélicoptères Puma étaient utilisés).
Par RFI
Pour la (…) -
Répression en Argentine : une fosse commune contenant 15 corps retrouvée
16 décembre 2011 par Argentine via RF (Open-Publishing)
Une fosse commune contenant les os d’au moins 15 personnes a été retrouvée à Tucuman (nord) dans un terrain où a fonctionné un centre clandestin de l’armée argentine, a annoncé mercredi le Centre d’Information Judiciaire.
"Les restes osseux partiellement brûlés d’au moins 15 personnes ont été retrouvés à des profondeurs différentes", écrit le CIJ sur son site internet, en précisant que cette découverte intervient dans le cadre des fouilles que mène sur place l’Equipe argentine (…) -
La disparue de San Juan : Argentine, octobre 1976 (video)
13 décembre 2011 par Roberto Ferrario (Open-Publishing)
7 commentairesMarie-Anne Erize avait 24 ans, un physique de mannequin, des utopies de rebelle. Un jour d’octobre 1976, des militaires en civil l’ont enlevée à San Juan, petite ville du nord-ouest de l’Argentine. Ses parents, ses amis, ses six frères et soeurs ne l’ont jamais revue. Depuis, elle fait partie des 30 000 disparus de l’époque de la dictature (1976-1983), ces hommes et ces femmes dont le souvenir hante à jamais ce pays à la mémoire lourde.
Peu importe que cette histoire remonte à plus de (…)