Putin et la garde du FSB

Le KGB (Komitet Gosudárstvennoy Bezopasnosti ;) était le nom de l’agence de renseignement (CIA équivalent) ainsi que l’agence principale de la politique secrète de l’URSS (l’équivalent du FBI) de 1954 à 1991, populairement connue comme « La Center "et même Khrouchtchev était chargée d’obtenir et d’analyser tous les renseignements de la nation pour le Kremlin (l’épée et le bouclier de l’URSS).

Une fonctionnalité a été « la dépendance extraordinaire des oligarques de l’UCP et de la force et la protection qui lui a donné le« KGB, et de Khrouchtchev devient un état parallèle au sein de l’État, réfractaires au contrôle du Bureau politique et sous la dépendance directe « Camarade Président" qui a baptisé l’méthodes expéditives à l’étranger avec l’euphémisme de « neutralisation » et la section 9 du KGB (alors le ministère des assassiner) que le Département 13, encore plus secrète et placés sous son propre contrôle.

Général Ion Mihai Pacepa est l’officier du renseignement d’avoir plus défection niveau de l’ancien bloc soviétique et dans son livre « Horizons rouges", a averti de la mutation ultérieure de l’original "Centre" jusqu’à ce que le véritable pouvoir dans l’ombre qui protège les pseudo-démocratie dans la Russie d’aujourd’hui :

"Après l’effondrement de l’Union soviétique, les Russes avaient une occasion unique de se débarrasser de sa forme ancienne police d’État byzantin que pendant des siècles, les a laissés mal équipés pour faire face aux complexités de la société moderne. Malheureusement, ils ne pouvaient pas le faire. Depuis l’effondrement du communisme, ont fait face à une forme de capitalisme dirigé par d’anciens bureaucrates communistes, les spéculateurs et les gangsters qui ont seulement réussi à accroître les inégalités sociales. Par conséquent, après une période de perturbations, les Russes ont été glisser comme historiques du gouvernement : l’autocratie qui remonte à Ivan le Terrible, dans lequel un seigneur féodal gouverné le pays avec l’aide de ses personnels de la police politique. Bon ou mauvais, pour la plupart des Russes l’ancienne police politique ne peuvent trouver leur défense contre la rapacité des nouveaux capitalistes.

Il ne sera pas facile de rompre avec 500 ans de tradition. Cela ne signifie pas que la Russie ne peut pas changer. Mais pour cela, les États-Unis pour aider. Nous devons cesser de prétendre que le gouvernement russe est démocratique. Nous devons reconnaître ce qu’elle est : une bande de 6.000 anciens agents du KGB - une des plus grandes organisations criminelles dans l’histoire - qui ont pris les postes les plus importants dans les gouvernements locaux et fédéraux. Ils perpétuent l’ancienne pratique de tuer leurs adversaires. Mais assassiner a toujours eu un prix, et le Kremlin devra payer avant de renoncer à leur pratique. "

Le Gorbatchev-KGB manquer :
Bakatin défini le KGB comme « l’état vicieux » dans un État et a été responsable pour le nettoyage Gorbatchev agent du KGB réticents à Glasnost et de Perestroïka (Перестройка), terme inventé sous le règne de Gorbatchev à définir "un processus de réforme en fonction dans la restructuration de l’économie dans le but de réformer et de préserver le système obsolète et donner socialiesta la société soviétique un certain esprit d’entreprise et d’innovation. " Ce processus, également accompagné d’une démocratisation de la vie politique hésitante, a entraîné de profonds changements socio-économiques qui ont conduit à l’ère de Gorbatchev, l’effondrement et la désintégration de l’URSS et l’intronisation de la mondialisation économique avec Eltsine.

La tentative de coup du 19 août 1991 contre le président soviétique Mikhaïl Gorbatchev, serait attribuable à des éléments résiduels au sein de l’UCP KG Brefractarios e à la perestroïka. Ainsi, selon l’ancien conseiller de Gorbatchev et « idéologue » de la perestroïka, Alexandre Yakovlev a déclaré dans une interview à l’AFP :

. « Il était une révolte de la partie et le KGB, dirigé par le chef du KGB Vladimir Krioutchkov, qui avait le conseil politique du président du Soviet suprême, Anatoli Loukianov et l’une des raisons pour lesquelles le coup d’Etat n’avait aucune chance de succès a été que l’armée n’aurait jamais accepté de jouer le jeu pour le KGB. "

En effet, des milliers de Moscovites le long des rues et ont érigé des barricades pour défendre le Parlement russe de construction, où le président Boris Eltsine (à l’époque de la République soviétique de Russie), a pris la direction de la résistance contre le coup d’État, qui a remporté la bande babillage du défenseur du processus démocratique de l’ex-URSS et, enfin, date du 24 Octobre 1991, Gorbatchev aboli le KGB et ses fonctions ont été pris en charge temporairement par le Service fédéral de renseignement (FSK).

Le FSB, qui emploie 75.000 personnes, a été créé le 12 avril 1995 par un décret-loi Eltsine pour remplacer le Service fédéral du renseignement (FSK) (Agence avait temporairement remplacé le KGB en Décembre 1993) Ajout aux pouvoirs des tâches de sécurité intérieure FSK pris en charge par le KGB (la lutte contre la criminalité organisée et le terrorisme, ainsi que le suivi de toutes les questions relatives à la sûreté nucléaire et la production de minéraux stratégiques) et a nommé la 2000 en tant que directeur Vladimir Putin étranger à la place de Nikolai Kovaliov.

Coup du KGB Nouvelle (FSB) avec Vladimir Putin :
Jusqu’à ce que le massacre de Beslan choquante (connu sous le nom 3-S), les services secrets russes languissaient entre les restes de la défunte guerre froide, mais dans le sous-sol du FSB, Putin avec leur environnement connu sous le nom copains du KGB, "a été forger un véritable coup virtuel qui aurait son déclenchement à l’assaut et le meurtre ultérieur de l’école de Beslan (Ossétie du Nord), l’action attribuée à un mélange de Tchétchénie et d’Ingouchie, la mise en place « la lutte contre le terrorisme tchétchène », comme le leitmotiv le mandat du nouvel homme fort de la Russie, Vladimir Putin et Chamil Bassaïev et Magomedali être Vagabov comme des paradigmes de la nouvelle politique de « neutralisation » de la NewKGB, ayant été tués par les forces spéciales du Comité national de lutte contre le terrorisme (NAK).

En 2004, Putin a approuvé la réforme des services de renseignement avant la création d’un puissant ministère de la Sécurité d’Etat en Russie, qui comprendrait le FSB avec SVR (responsable des opérations outre-mer), et a obtenu la défenestration de l’original classe dirigeante de l’ère Eltsine (oligarques), l’équivalent mafia corrompue clique d’un mini-Etat dans l’Etat de Russie et que 36% de la richesse de grandes concentrée dans les mains l’équivalent de 25% du PIB (dont les paradigmes seraient Berezovksy, exilé à Londres et Mikhaïl Khodorkovski, en prison sur des accusations d’évasion fiscale et la fraude contre l’État) et son remplacement par des individus de loyauté éprouvée à sa personne, et non pas caprices politiques et le seul but de profit rapide.

Par la suite, faire taire les voix dissidentes et les médias par le trac, l’asphyxie économique, l’introduction de fichiers arbitraires pour les infractions fiscales et rapide, Poutine aurait obtenu la disparition de son propre pays de l’opposition démocratique et l’établissement de la décision : doctrine politique qui combine les idées expansionnistes du nationalisme russe, les bénédictions de la puissante Eglise orthodoxe, les services inestimables du FSB (successeur du KGB), la liquidité abondante monétaires réalisés par les sociétés énergétiques (Gazprom) et une partie de l’idéologie symbolisé jruschoviano autocratique du pouvoir personnel pour tenter de réunir en sa personne le chef de l’Etat et la présidence du Parti.

Possibilité sún coup de main contre Putin de la main du FSB :
Toutefois, les réformes visant à rationaliser la bureaucratie associée à la réduction de la puissance des gouverneurs régionaux (le parti au pouvoir, Russie unie, ont décidé de ne pas nommer pour une réélection à l’actuel gouverneur de Kaliningrad), l’aggravation de la crise économique, car l’effondrement des prix du pétrole et la dépendance excessive sur les exportations de pétrole et de gaz (70% des revenus proviennent de ces voies), la dévaluation du rouble (30% depuis le début de la crise) et les incendies terribles qui ont consommé 1 million d’hectares de forêt, ont diminué la popularité de Poutine, la société russe considère que le principal responsable de la Douma a adopté en 2006 le Code forestier, une loi qui dissout la gestion centralisée de la protection des forêts, la réduction des pouvoirs Agence forestière. et en donnant la responsabilité de la protection des forêts entreprises locataires et les gouvernements locaux, ont fait valoir que le manque de fonds pour contrôler le territoire équivalent à deux fois l’Union européenne (809 millions d’hectares).,

Putin, en particulier "annus horribilis", doit faire face à la sécheresse sans précédent qui a touché la partie occidentale de la Russie depuis le début de Juillet et aurait causé 20% de ses 10 millions d’hectares de terres arables ont été ruinés par la sécheresse, (avec des estimations de récolte de blé de cette année de 70-75 millions de tonnes, plutôt que la moyenne annuelle de 90 millions, selon l’agence RIA Novosti) et de l’embargo sur les exportations ultérieures de blé de l’année 2010 (La Russie fournit 8% de la production mondiale de blé en 2009 et exporté 21,4 millions de tonnes de céréales).

Ces mesures peuvent être insuffisantes et nécessitent des importations de céréales massive pour empêcher la famine de l’hiver, entraînant une augmentation des prix des produits de base qui va produire une inflation galopante près de 13% en 2010, qui, couplées à l’augmentation possible taux d’intérêt conduira à l’exacerbation des divisions sociales à de larges couches de la population forcés de vivre dans seuil de pauvreté et dépendent des prestations sociales (30% de la population), doivent passer une grande partie des réserves pour combler le déficit endémique du régime de retraite et d’accélérer la réduction prévue de la bureaucratie et sont ainsi dilué les effets bénéfiques de ses objectifs de promotion du logement et de la santé publique, réduction des impôts et les changements démographiques dans la tendance qui souffre d’une croissance négative depuis 1991 ( -12.000.000 personnes) connaît la "sui generis" la démocratie russe une réduction sévère de la liberté et être capable de rééditer les émeutes et les protestations ont éclaté avec Khrouchtchev en raison de la cherté de la vie.

Cela pourrait le rendre impopulaire dans le parti et affaiblir l’administration et de Poutine ancienne puissance absolue et permettre un complot se préparait défenestré encouragé par les oligarques de Putin et contraint à l’exil à l’étranger (ce qui aurait le bras exécutif du FSB) être accusé des mêmes charges avec laquelle décapité la clique oligarchique (abus de pouvoir, la corruption et les infractions fiscales) et a été remplacé probablement par Mendeiev. (Revivre le coup d’État contre Khrouchtchev en 1964 d’occasion et sutitución Leoniv par Brejnev après avoir été accusé de culte de la personnalité et d’erreurs politiques.)

Affaire de l’être sur le plan politique, pourrait assister à l’intronisation du KGB et de la résurgence de la Troïka pour éviter l’accumulation du pouvoir autocratique et le retour de la doctrine Brejnev (aussi appelée doctrine de souveraineté limitée), qui a établi que la doctrine de Russie est habilité à intervenir (y compris militaire) dans les affaires intérieures des pays de sa zone d’influence et combinant adroitement des minorités ethniques de Russie sensibilisation opprimés chantage énergétique, la menace de dissuasion nucléaire, la chirurgie intervention militaire, la déstabilisation des gouvernements voisins "non grata" et la noyade de l’opposition politique interne vais essayer de faire entrer dans son orbite à la majorité des pays détachés de l’ancienne URSS et de construire la nouvelle Grande Russie à l’horizon de 2020, à la suite de l’atavisme de Pierre le Grand.

GERMÁN GORRAIZ LOPEZ